lundi 30 janvier 2012

Compte rendu SUA LG

Elle s'occupe des relations de presse, s'occupe de la communication.
Elle a un BAC+3, elle gagne environ 1200€ à 1400€ par mois environ, elle travaille 35heure par semaine et aussi le weekend, et elle est très heureuse de son métier.

SUA LG

Le club d'Agen est une société anonyme sportive professionnelle (SASP)
Alain Tingaud est le président directeur général du SUA. 
Au SUA nous avons le troisième budget du top 14, avec environ 12,5 millions d'euros.
Il y a 12 contrat espoirs, et 37 contrat professionnel, les joueur professionnel sont payé moins de 10 000 euro.
Il y a 30 salarié qui travaille pour le sua, 18 partenaire officiel, avec un partenaire master qui est Bigard. 
Une loge au SUA coute 40 000 euros.
Nous sommes le 3ième meilleur centre de formation. Le premier c'est Toulouse.
Sapeur-pompier
Définition :
Globalement, le pompier assure la sécurité des biens et des personnes. C’est un technicien du risque qui fait face à des situations le plus souvent périlleuses mais toujours très variées.

Compétences :
Condition physique irréprochable, résistance psychologique, excellents réflexes, rapidité d’exécution.


Activités :
Outre la lutte contre les incendies qui fait la renommée de ces soldats du feu, les pompiers interviennent également dans tous les incidents techniques qui engendrent la panique : inondations, accidents chimiques, désincarcération, capture d’animaux sauvages, panne d’ascenseur… A leur arrivée, qui se doit d’être prompte, les pompiers assurent en cas de nécessité les premiers secours et rassurent les victimes. Aujourd’hui, 60 % des interventions des pompiers concernent des opérations de secours et 10 % la lutte contre les incendies. Les pompiers sont également en charge de l’entretien de leur matériel et de leurs véhicules. Parfois, ils sont amenés à utiliser leurs compétences de lutte contre les sinistres dans le cadre de l’étude de dossiers concernant la construction d’établissements recevant du public (écoles, hôpitaux, centres administratifs...) au sein d'une commission de sécurité.

Qualités :
Dévouement, courage, sang-froid, prudence, réactivité, facilité d’adaptation, altruisme.


Formation :
Cet emploi à hauts risques est accessible par le biais d’un concours. En cas de réussite, l’aptitude physique des candidats est évaluée pour effectuer un dernier tri. Il faut minimum le BAC

Environnement :
Le pompier, lors de ses gardes qui peuvent durer de 24 à 48 h, réside à la caserne et intervient dans des lieux extrêmement divers.


Salaire :
En moyenne, un sapeur-pompier de 2e classe gagne entre 1 450 et 1 800 euros brut par mois, un lieutenant entre 2 100 et 3 250 euros.

lundi 23 janvier 2012

Compte rendu pompeyri - Animatrice

On devient animatrice on y passe par concour, au moins 6 mois d'experiance.
Il faut travaillé en équipe, avec les médecin, infirmière, psycologue.
Les patient, personne agées viennent plus se confié au animateur.
Il faut être dynamique, faut savoir un peu tout faire, un caractère calme.
C'est avant tout le bien etre du resident, il faut les interressé, faire des rencontre canine .. etc..
Ils leur font des animations, qui on toujours un but pour les résident, pour pas qu'il perdent les choses.
Il faut etre a l'écoute des famille.


BUDGET: 3000€ a l'année, sur agen: 12000€
Salaire d'une animatrice 1800€

lundi 16 janvier 2012

Lycée agricole Armand Fallière

QUI EST CONCERNÉ ?
titulaires d’un BACCALAUREAT général, technologique ou professionnel

DURÉE DES ÉTUDES:
Cycle de 2 ans - Formation temps plein

DIPLÔME PRÉPARÉ:

BTSA : Brevet de Technicien Supérieur Agricole
Ce diplôme s’obtient par contrôle continu 50 % et épreuves finales 50 %.

DÉBOUCHÉS filière des activités équestres / secteur agricole

Exploitants Agricoles - éleveur
Conseillers agricoles ou de gestion
Techniciens dans des organismes para-agricoles ou du secteur équestre

POURSUITE D'ÉTUDES

Licence professionnelle
Préparation à un diplôme d’ingénieur ( après une classe préparatoire post BTS)
Etudes universitaires soit directement, soit après une année préparatoire à l’entrée en licence


Seconde Professionnelle
QUI EST CONCERNÉ
Les élèves de l’Education Nationale après la classe de 3ème
Les élèves de 3ème de l’Enseignement Agricole
Les élèves de 2de Générale et Technologique dans le cas d’une réorientation
DURÉE DES ÉTUDES
Cycle de 1 an. Formation temps plein.
DIPLÔME PRÉPARÉ - POURSUITE D'ÉTUDES
- Aucun - classe destinée à une poursuite d’études en Bac Professionnel Aménagement, spécialité : Travaux Paysagers - Travaux forestiers - Gestion des espaces
naturels et ruraux
- Obtention de 2 diplômes en 3 ans : BEPA + Bac Pro

2nde Pro Productions animales du secteur Equestre
dans le cadre d'un Bac pro en 3 ans Conduite et gestion de l'entreprise équestre
QUI EST CONCERNÉ ?

Les élèves de l’Education Nationale après la classe de 3ème
Les élèves de 3ème Technologique de l’Enseignement Agricole
Niveau équestre souhaité à l’entrée : galop 5

DURÉE DES ÉTUDES

Cycle de 3 ans - Formation temps plein
DIPLÔME PRÉPARÉ

Bac Pro Conduite et Gestion de l'Exploitation hippique

Ce diplôme s’obtient par contrôle continu 50 % et épreuves finales 50 %.

DÉBOUCHÉS

Emploi salarié de niveau Cavalier soigneur spécialisé en élevage de chevaux de sport, Club Hippique, écuries de propriétaires …
POURSUITE D'ÉTUDES

BTSA ACSE ou Productions animales – BP JEPS

STAGES

en entreprise, association, club, cavalier sportif, écurie de propriétaire
20 semaines de stage réparties sur les 3 ans.


LES OBJECTIFS
Les objectifs de la section d’Animation Sportive « EQUITATION » sont les suivants :
permettre aux élèves d’atteindre un bon niveau sportif
participer à l’animation sportive au niveau local et régional
permettre d’obtenir des diplômes sportifs fédéraux et nationaux

LES CONDITIONS D’ADMISSION
L’ensemble des élèves du Lycée qui pratiquent l’équitation :
BEPA Activités Hippiques,
BAC PROFESSIONNEL Production du Cheval,
Seconde GT,
BAC STAV

peuvent prétendre à être admis au sein de la Section d’Animation Sportive du LEGTA A. Fallières.
Une sélection prenant en compte, entre autres, les critères sportifs et les résultats scolaires, est réalisée par le conseil des enseignants, afin de constituer un groupe d’une vingtaine d’élèves.

L’ORGANISATION DE L’ENSEIGNEMENT
Les séances d’enseignement comprennent :
2 heures d’Equitation par semaine
1 heure d’ E. P. S. adaptée aux sports équestres (musculation, assouplissements…)
un suivi des performances réalisées en compétitions par un lien entre le LEGTA et les clubs
L’enseignement d’équitation est assuré par des enseignants du Lycée (BEES 2 et BEES 3 ). Il est totalement indépendant des cours correspondant aux programmes des classes dans lesquelles sont inscrits les jeunes.
LE FINANCEMENT
Le financement de la Section d’Animation Sportive « Equitation » est assurée par :
le Ministère de l’Agriculture
la Direction Régionale « Jeunesse et Sports »
le Conseil Régional Aquitaine
la participation des familles à hauteur de 20 € / semaine

Chaque année, les Sections d’Animation Sportive Equitation de plusieurs Lycées Agricoles se rencontrent dans le cadre d’un Concours de Saut d’obstacles.
ci-dessous, quelques clichés du Challenge 2003 qui était organisé par la Section d’Animation Sportive du LEGTA Armand FALLIERES de NERAC.


Centre de Formation pour Adultes de Nérac
Le CFPPA est ouvert depuis 1971, dépendant du Ministère de l'Agriculture. Nos partenaires sont l'Europe, l'Etat,le Conseil Régional d'Aquitaine le Conseil Général 47, la DDTE, le VIVEA, le FAFSEA, le CNFPT, l'ANPE, les Missions Locales...

L'établissement dispose de locaux de formation et peut héberger les stagiaires selon les besoins et le rythme des interventions. Dans des cas particuliers le CFPPA de Nérac se déplace sur site pour développer sa prestation. La restauration peut se faire au Self service du Lycée à proximité du Centre de formation adulte.

Le CFPPA de Nérac propose de nombreux stages et formations pour initier ou compléter ses connaissances dans le domaine des travaux paysagers, de l'élagage, de l'informatique,de l'agriculture, de l'accompagnement des salariés.

Nérac, dans le Lot et Garonne

Nérac, pays de gastronomie, a la saveur du melon, le parfum du cèpe, le fumet du salmis de palombe, le fondant du foie gras. Dans la fraîcheur des ruelles médiévales, sous les toits baignés d'un soleil aux accents italiens, les portes s'ouvrent, accueillantes, véritable patrimoine local. 

Lycée Jacques de Romas


Année après année, le lycée professionnel Jacques de Romas s’est construit une image très positive auprès des élèves du département de LOT et GARONNE, et même au-delà, illustrée par le fort taux de pression exercée par la demande d’admission dans les diverses formations proposées et que légitime un taux de réussite aux examens supérieur aux taux départemental et académique (100% pour 5 diplômes et entre 80% et 87,5% pour les 4 autres)

lle s’explique aussi par la forte implication des équipes pédagogiques qui, en outre, ont su tisser des liens solides et durables avec un ensemble de partenaires professionnels des secteurs d’activité concernés : l’hôtellerie-restauration et les métiers des services à la personne.
L’offre de formation du lycée s’articule autour de ces deux pôles d’activité avec les deux niveaux d’accès à un diplôme qui résultent de la réforme de la voie professionnelle et de la généralisation du Bac Pro 3 ans :

- le CAP (Cuisine et Restaurant)

- le Bac Pro 3 ans (Restauration, Sanitaire et Social Option Sanitaire, Services de Proximité et Vie Locale)

Afin de permettre à nos élèves d’acquérir des compétences plus spécifiques, plus fines, nous leur offrons la possibilité d’intégrer 3 mentions complémentaires après l’obtention d’un premier diplôme (Accueil-Réception, Cuisinier en desserts de restaurant, Sommellerie) qui se concrétisent toutes par une forte insertion professionnelle ainsi qu’une Section d’Aides Soignants qui destine, elle aussi, à des métiers très porteurs.

L’existence d’un Bac Pro Restauration Européen permet aux élèves qui en ont la volonté et les compétences d’intégrer un cursus au cours duquel ils auront la possibilité d’effectuer des périodes de formation en entreprise à l’étranger et ainsi, d’acquérir une maîtrise supérieure de la langue vivante concernée (anglais ou espagnol) et d’avoir des opportunités supplémentaires de carrière professionnelle à l’étranger.
 
Nous y travaillons en y associant les élèves via leurs différentes représentations et, singulièrement, les internes (plus d’1 élève sur 2) qui doivent bénéficier de bonnes conditions d’accueil pour que leur semaine au lycée soit profitable et agréable.

La taille humaine de notre établissement, son cadre verdoyant, son système de relations simples, directes, entre adultes et élèves, sont autant d’atouts pour qu’il fasse bon vivre et étudier au lycée professionnel Jacques de Romas.

 Equipe administratif: 
PROVISEUR Monsieur Dominique BOISSARD
PROVISEURE ADJOINTE Madame Carole DENIS

Services à la personne:
BAC-Pro SPVL
BAC-Pro sanitaire et social option sanitaire


 3MDP6:
3ème Module de De Découverte Professionnelle (6 heures)
A la rentrée 2010, le lycée Jacques de Romas ouvre une Unité Locale d'Inclusion Scolaire  qui permettra d’accueillir 4 ou 5 élèves en situation de handicap, conformément à la loi de 2005 sur le handicap qui prévoit la scolarisation en milieu ordinaire.

 Le dispositif de l’ULIS a pour objectif de faciliter l’acquisition de compétences et l’intégration professionnelle en tenant compte des besoins spécifiques et des capacités de l’élève handicapé.
 

 Les élèves accueillis seront orientés par la Maison Départementale des Personnes Handicapées.


jeudi 12 janvier 2012

Fiche métier, radiologue

RADIOLOGUE


Le métier de radiologue consiste à analyser des images obtenues à partir de l’imagerie médicale (rayons X, ultrasons, scanners...) en fonction des informations transmises par le médecin généraliste ou par tout autre spécialiste qui lui adresse le patient et à en rédiger le compte rendu. Son objectif est de déceler des signes de fractures ou de maladies, comme une tumeur ou une infection pulmonaire. C’est également le radiologue qui effectue les échographies, les infiltrations nerveuses. A partir de l’imagerie médicale, le radiologue préconise un traitement et contrôle son efficacité. Il est assisté par un ou plusieurs manipulateurs en électroradiologie ou techniciens en imagerie médicale.
Un radiologue travaille soit en libéral, soit comme salarié dans un hôpital, un organisme public d’Etat, une association d’organisme de recherche comme l’INSERM (Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale), ou encore dans une entreprise comme dans l’industrie pharmaceutique. Les horaires sont irréguliers et comportent des périodes d’astreintes.
Ses qualités : Un radiologue doit être rigoureux, précis et organisé. Il doit avoir le sens de l’observation et de l’analyse. Par ailleurs, il doit être doté de bonnes qualités relationnelles : diplomatie, pédagogie et tact sont des qualités indispensables pour exercer le métier de radiologue.
Les débouchés : La France manque de radiologues, les perspectives de recrutement sont donc favorables. Avec de l’expérience, le radiologue peut intégrer le pôle recherche d’un l’hôpital, d’un des grands organismes de recherche, à l’université ou dans l’industrie. Il peut participer à la conception et à la mise en œuvre de programmes de santé publique et peut accéder à des postes d’enseignement au sein d’un CHU.
 
Sa formation :
Pour devenir radiologue, un bac S est vivement recommandé.
Après ton bac, il faudra suivre des études médicales composées de 3 cycles :
1er cycle en 2 ans :
- PACES (Première année commune des études de santé), appelée aussi L1 santé (anciennement PCEM1) : en début d’année, tu choisiras le ou les concours que tu souhaites passer. La fin de la première année est sanctionnée par un concours sélectif  : seuls 15 % environ des étudiants sont reçus (ce taux varie selon les universités) et, parmi eux, au moins une moitié de redoublants  !
- 2e année ou L2 santé : tu effectueras un stage infirmier de quatre semaines à l’hôpital puis, tu y passeras une après-midi par semaine.
2ème cycle en 4 ans : Le 2nd cycle est composé d’enseignements théoriques et pratiques sur la pathologie, la thérapeutique, la prévention. Pour accéder en 3e cycle, il te faudra valider la formation théorique, les stages hospitaliers et le stage auprès d’un généraliste et obtenir le certificat de synthèse clinique et thérapeutique. Au bout de la 6ème année, tu passes l’examen classant national (ECN), qui te permet de te spécialiser en radiologie (en fonction de ta réussite à ces examens et de ton classement).
3ème cycle en 4 ans : La formation de spécialiste en radiologie s’obtient au cours du 3ème cycle, par un DES (diplôme d’études spécialisé). Après le DES et une soutenance de thèse devant un jury, tu obtiendras le diplôme d’Etat de docteur en médecine.

Son salaire :
Le salaire du radiologue dépend de son mode d’exercice (hôpital, cabinet privé...). Un radiologue débutant et salarié peut espérer gagner 4 000 euros bruts par mois.

Matière(s) principale(s) :
Mathématiques
Physique et chimie
S.V.T. (Siences et vie de la terre)


Matière(s) secondaire(s) :
Culture générale

DENTISTE

En quoi cela consiste ?

Le chirurgien-dentiste soigne les dents, mais aussi la bouche et les gencives. Il soulage les douleurs, soigne les abcès et les caries, répare les dents, pose des prothèses et redonne le sourire ! Le dentiste doit faire preuve d’écoute et de psychologie, mais aussi d'une grande habileté technique.

Quel diplôme faut-il ?

Le diplôme de chirurgien-dentiste s'obtient après 5 à 7 ans d'études d’odontologie. Ces études commencent après un concours passé à l'issue d'une première année d'études médicales.

Quelles matières faut-il travailler ?

Les sciences : maths, biologie, physique.

Après le concours de 1ère année de médecine, j'ai donc eu accès, sur concours, à la 2ème année de dentaire. Dès la 3ème année, on commence à soigner des patients. Je n'imaginais pas qu'il existait autant de relationnel dans ce travail. La formation, très théorique au départ, est surtout pratique en 6ème année.

Fiche métier, ophtalmologue

OPHTALMOLOGUE

Ophtalmologue:

Secteur Médical
Niveau d’études minimal Bac + 11
Bac conseillé S
Alternance Non
Sélectivité des études Forte
Insertion professionnelle Bonne
Salaire débutant 3.800 € (1)

L'ophtalmologiste est un médecin spécialiste dans le diagnostic et le traitement des maladies et des anomalies de l'oeil. Par sa formation, il peut faire une évaluation complète de la fonction visuelle et de l'état de santé de l'oeil. Il traite les problèmes par une approche thérapeutique ou chirurgicale. Une actualisation permanente de ses connaissances est indispensable car la chirurgie est un domaine qui demande une haute technicité.

Conditions de travail :


Il exerce dans un cabinet ou en hôpital. Il travaille en relation étroite avec le médecin généraliste, avec les opticiens qui fourniront aux patients les lunettes et lentilles qu'il aura prescrits, et avec les orthoptistes qui vont réaliser les rééducations oculaires nécessaires. Il existe actuellement une forte pénurie d'ophtalmologistes au niveau national et régional.


Formation :


L'ophtalmologie est une spécialisation de la médecine. Les études se déroulent en trois temps : première année sanctionnée par un concours - puis cinq ans pour la formation de médecin généraliste - et quatre ans pour une spécialisation ; soit dix ans pour exercer le titre de médecin spécialiste en ophtalmologie. 
• Définition :

L’ophtalmologiste soigne toutes les maladies relatives aux yeux et aux paupières.

• Compétences :

Précision, capacité à mettre en confiance autrui, maîtrise des différents outils, esprit de déduction.

• Activités :

Après avoir examiné l’état de vos yeux et de vos paupières par le biais de différents examens (mesure de la pression intraoculaire, examen du champ visuel, du sens des couleurs, ophtalmoscopie, polarimétrie, microscopie capillaire…), l’ophtalmologiste fait la synthèse de ses observations et établit un diagnostic. Selon le cas, il prescrira une intervention chirurgicale ou le port de lunettes. Par ailleurs, il peut pratiquer certaines opérations sur les patients ambulatoires ou hospitalisés. Enfin, il suit de façon régulière ses patients afin de mesurer au mieux l’évolution du traitement.

• Qualités :

Patience, courtoisie et tact, adaptation aux nouvelles techniques, sens des responsabilités.

• Formation :

Après avoir obtenu le concours de médecine, il faut faire 6 ans d’études puis passer le concours de l’internat (auquel il faut se classer parmi les premiers). Après avoir validé 5 semestres, il est nécessaire de valider sa thèse de doctorat.

• Environnement :

L’ophtalmologiste évolue dans son propre cabinet et dans le milieu hospitalier.

• Salaire :

Un ophtalmologiste touche environ 8 000 € nets par mois.

Fiche métier, chirurgien

CHIRURGIEN

Nature du travail

Des soins dans la bouche
Le dentiste soigne les dents, les gencives et les mâchoires. Il pose un diagnostic, effectue des radiographies, réalise les soins, prescrit des médicaments.
Chirurgien-dentiste, il peut extraire des dents de sagesse, consolider des dents avec des couronnes, poser des prothèses complètes... Un travail de précision qui ne doit occasionner aucune gêne pour le patient.
Des opérations délicates
Ce professionnel peut mener des interventions chirurgicales importantes et délicates, directement dans son cabinet ou à l'hôpital. Par exemple, il peut réparer une fracture de la mâchoire, réaliser une greffe osseuse ou de gencive lorsque les dents se déchaussent...
Conseils et prévention
Donner des conseils en matière d'hygiène bucco-dentaire ou d'alimentation fait aussi partie du rôle du chirurgien-dentiste. On peut s'adresser à lui en prévention, pour des visites de contrôle ou pour effectuer un détartrage destiné à diminuer les risques de problèmes dentaires.

Compétences requises

Rassurer avant de soigner
Les soins sont parfois douloureux et la peur de la roulette bien présente. Dans ces cas, au chirurgien-dentiste d'user de psychologie pour rassurer ses patients et exécuter les soins sans stress !
Être habile et précis
Le métier est physiquement délicat en raison de la position de travail (les bras tendus, parfois debout ou assis). L'effort d'attention est aussi permanent. Un chirurgien-dentiste possède des compétences médicales pointues. Sans oublier des gestes précis et une grande habileté manuelle pour éviter de faire mal au patient !
S'adapter en permanence
Comme pour toute discipline médicale, un bon niveau en sciences est requis. Mais la curiosité et l'envie d'approfondir ses compétences sont des atouts importants dans cette profession. De nombreux dentistes continuent en effet à se former pendant leur activité, en chirurgie buccale, en parodontologie... Ils doivent aussi s'adapter à l'évolution des techniques et des appareils de soins.

Lieux d’exercice et statuts

Une activité réglementée
Si la plupart des chirurgiens-dentistes exercent en libéral (en tant qu'indépendants), ils peuvent travailler dans un hôpital ou une clinique privée. En particulier pour pratiquer des opérations difficiles à réaliser dans un cabinet. L'inscription à l'ordre national des chirurgiens-dentistes est obligatoire pour exercer.
De la gestion en plus
L'emploi du temps du chirurgien-dentiste est variable en fonction de son lieu d'exercice. Mais, dans tous les cas, ses horaires sont tardifs et ses consultations s'étendent très souvent du lundi au samedi. Si le cabinet lui appartient, il assume également les tâches de gestion administrative.

Salaire

Salaire du débutant
De 2500 à 5000 euros brut par mois.

Intégrer le marché du travail

Des besoins en perspective
Aujourd'hui, on recense un peu plus de 40 000 chirurgiens-dentistes. La profession estime que les chiffres actuels du nombre de places (numerus clausus) pour suivre des études de chirurgien-dentiste (977 places pour 2007) ne suffiront pas à endiguer la prochaine vague de départs à la retraite.
Surtout en libéral
Plus de 90 % des chirurgiens-dentistes exercent à titre libéral, soit exclusivement, soit parallèlement à une activité salariée. On trouve 10 % d'entre eux dans les hôpitaux, les centres de soins (dispensaires, centres mutualistes...) et le Service de santé des armées. Dans certaines régions (Île-de-France, Provence...) déjà bien pourvues en praticiens, il est difficile de percer. En revanche, le Nord et les campagnes sont demandeurs de professionnels.
Se spécialiser pour évoluer
Le chirurgien-dentiste peut se spécialiser après une formation complémentaire en orthodontie, en parodontie, voire en expertise médicale. Il peut encore devenir enseignant-chercheur en hôpital ou passer un concours de cadre de la fonction publique hospitalière. Dans le secteur industriel, la recherche pharmaceutique constitue une autre opportunité intéressante. 

Accès au métier

Entre 6 et 8 années d'études sont nécessaires aux bacheliers scientifiques pour obtenir le diplôme d'État de docteur en chirurgie dentaire. À l'issue de la 1re année commune aux études de santé, un concours très sélectif permet de poursuivre ou non sa formation.
Niveau bac + 5 et plus
  • Diplôme d'État de docteur en chirurgie dentaire : la formation comprend un premier cycle d'études médicales (PCEM) de 2 ans. Puis, un 2e cycle de 3 ans et, enfin, un 3e cycle de 1 à 3 ans selon la spécialisation retenue (odontologie hospitalière, chirurgie buccale, orthodontie). À noter : dans certaines facultés, l'étudiant doit, dès la 2e année, se procurer les instruments nécessaires à certains travaux pratiques. Cette acquisition coûte entre 1 500 et 3 800 euros.

Fiche métier, médecin généraliste

MEDECIN GENERALISTE


Nature du travail

Diagnostic et traitement
Dans son cabinet ou en visite à domicile, le médecin généraliste instaure avec son patient une relation de confiance, grâce à son écoute et sa disponibilité. Cette bienveillance lui permet de l'interroger longuement sur les symptômes avant de l'ausculter et de poser un diagnostic. Une fois le bilan effectué, le praticien prescrit des médicaments (en donnant des explications sur leurs effets) ou des examens complémentaires (analyses de sang, radiographie...).
Prise en charge et suivi
Myopathie, grippe ou entorse... le médecin a pour vocation de tout soigner. La prévention constitue un de ses axes prioritaires. Bilan de santé, dépistage, vaccinations... la prise en charge du patient est assurée dans sa globalité. Dans certains cas, le généraliste peut pratiquer des actes de petite chirurgie, de gynécologie, de pédiatrie...

Compétences requises

Une endurance à toute épreuve
Outre ses compétences médicales, le médecin généraliste possède des capacités d'endurance, aussi bien physiques que psychiques. Face à des pathologies (maladies) particulières et difficiles à vivre par le patient, il doit aussi faire preuve de tolérance, de compréhension et de tact.
Un sacerdoce médical
Les spécialistes de la santé sont avant tout des praticiens humanistes capables d'établir des relations de confiance avec leurs malades.
Soucieux du bien-être des autres et passionné par son métier, ce praticien fait souvent preuve d'une très grande disponibilité. Sauf exceptions (actes de violence, épidémies...), il sait rester discret vis-à-vis de l'état de santé de ses patients. Disponibilité, équilibre personnel et sens de l'observation sont les qualités indispensables à cette profession.

Lieux d’exercice et statuts

Libéral ou cadre salarié
La majorité des généralistes s'installent à leur compte. Il leur arrive d'assurer des vacations dans des centres de santé ou à l'hôpital, en plus de leurs consultations privées. Les autres sont salariés au sein d'un hôpital, d'une administration ou d'une collectivité territoriale, par exemple. Les associations humanitaires recrutent aussi des médecins pour effectuer des missions d'urgence en France et à l'étranger.
Un emploi du temps chargé
Le médecin généraliste compte rarement son temps de travail, surtout quand il gère son propre cabinet. En moyenne, il travaille 50 h par semaine, à raison de 20 à 30 consultations par jour ! Peuvent s'y ajouter des gardes de nuit ou de week-end, surtout en début de carrière. Et s'il est à la campagne, il faut encore comptabiliser le temps passer à sillonner les routes pour visiter ses patients.
Soucieux du bien-être du malade
Intervenant tantôt dans l'urgence avec sang-froid, tantôt dans la durée avec patience, ce professionnel est animé par le souci constant d'améliorer ses pratiques pour le bien-être du malade.

Salaire

Salaire du débutant
Plus de 3000 euros brut par mois.

Intégrer le marché du travail

Un avenir prometteur
Actuellement, on compte plus de 200 000 médecins en exercice, dont près de la moitié comme généralistes. Avec les départs à la retraite, la pénurie de médecins dans certaines régions, le relèvement du nombre d'admis en études de médecine, les perspectives d'emploi semblent favorables aux futurs médecins.
Des vacations pour commencer
Le plus souvent, le jeune médecin diplômé commence sa carrière par des remplacements. Ces derniers peuvent s'effectuer dans un cabinet, dans une clinique privée, dans un hôpital public, dans une administration (Sécurité sociale, PMI, médecine du travail...). Il peut aussi exercer dans le domaine des soins non curatifs : médecine scolaire ou du travail, médecine légale, expertise (assurances, mutualité, etc.), laboratoires...
Des débouchés en zone rurale
Si on dénombre en moyenne 160 généralistes pour 100 000 habitants, il faut rester prudent car ces chiffres reflètent de forts contrastes. Il est plus facile de s'installer à la campagne et dans certaines banlieues où les besoins sont importants. Dans beaucoup de grandes villes, on constate l'inverse.

Accès au métier

9 ans sont nécessaires pour former un médecin généraliste avant de prononcer le serment d'Hippocrate. Des études longues, organisées en 3 cycles, et qui débouchent sur le diplôme d'État de docteur en médecine, délivré à l'issue de la soutenance d'une thèse.
Niveau bac + 5 et plus
  • 1ercycle d'études médicales (PCEM) : accessible après le bac (la filière scientifique est recommandée). Le PCEM dure 2 ans. Il commence par la première année commune aux études de santé, à l'issue de laquelle les étudiants passent un concours au nombre de places restreint (le numerus clausus).
  • 2ecycle d'études médicales (DCEM) : il dure 4 ans et forme à ce qu'on appelle traditionnellement l'externat.
  • 3ecycle d'études médicales : le choix de la spécialité et/ou de la région où l'étudiant effectuera son internat dépend de ses résultats et de son rang de classement lors des épreuves nationales classantes (ENC) à la fin de la 6e année (DCEM4). La thèse est soutenue à la fin de l'internat qui dure 3 ans. Elle débouche sur le diplôme d'État de docteur en médecine.

Fiche métier, infirmière.

INFIRMIERE

Nature du travail

Prévenir, guérir et soulager
L'infirmier effectue des soins de nature préventive, curative ou palliative pour améliorer, maintenir et restaurer la santé. Il collabore avec toute l'équipe soignante et participe au projet global de soin. Tenu au secret professionnel, il assure avec l'aide-soignant les soins d'hygiène, de confort et de sécurité du patient.
Sur prescription
La prescription médicale est le seul lien hiérarchique entre le médecin et l'infirmier. C'est-à-dire que l'infirmier n'intervient que sur ordre et avec l'accord du médecin. En aucune façon, il ne peut définir lui-même un traitement pour le patient. En revanche, il est chargé de surveiller les éventuels effets secondaires ou complications.
Gestion administrative
Surveillance des équipements, gestion des stocks de médicaments et des dossiers... autant de tâches dont l'infirmier doit s'acquitter. Il établit aussi les plannings de soins en fonction des prescriptions médicales. Par ailleurs, il peut organiser des rendez-vous auprès d'autres services (en radiologie, par exemple). Ou s'occuper des formalités d'admission des patients et rédiger les comptes rendus des visites du médecin dans le cahier des soins.

Compétences requises

Le sens du dialogue
Au sein de l'hôpital, l'infirmier est un maillon important de l'équipe médicale, car il a aussi une fonction d'observation et de dialogue avec le patient. Il recueille des informations pour une prise en charge adaptée. Cela lui permet d'être à l'écoute, de rencontrer les familles, d'assurer un accompagnement et un soutien psychologique.
Une santé de fer
Un bon équilibre et une grande résistance physique sont indispensables. Par ailleurs, la capacité à s'organiser et à analyser rapidement une situation sont des atouts pour s'épanouir dans ce métier. Sur le plan psychologique, la maturité et la capacité à prendre du recul permettent de côtoyer la maladie et la mort en se préservant le mieux possible sur le plan personnel.
Une vigilance élevée
L'infirmier doit savoir interpeller le médecin lorsqu'il identifie une anomalie ou une prescription atypique, afin d'en obtenir confirmation. Cela constitue une des difficultés majeures de la profession. Il doit être en mesure de comprendre chaque prescription pour en déterminer les risques et les surveillances. Ce diagnostic infirmier est complémentaire du diagnostic médical et ne s'y substitue en aucune manière.

Lieux d’exercice et statuts

Astreintes et rotations
Dans un cadre hospitalier, les soins sont assurés 24 h sur 24. Le travail est organisé par rotation des équipes, sur la base de 35 h par semaine. Ces astreintes sont une des caractéristiques du métier d'infirmier. Les contraintes d'horaires sont cependant assez différentes selon le lieu de travail : hôpital, centre médico-social, dispensaire, Samu social, association, collège-lycée, entreprise…
Surtout à l'hôpital
On compte environ 515 000 infirmiers dont presque 75 % sont salariés d'un établissement de santé public ou privé. Dans ce cadre, le travail s'effectue toujours en équipe, l'infirmier organisant celui des aides-soignants placés sous sa responsabilité.
Dans d'autres structures
Quand il n'est pas salarié dans un hôpital ou une clinique privée, l'infirmier coordonne et dispense des soins dans des structures diverses : maisons de retraite, centres de réadaptation, centres anti-cancéreux ou de soins palliatifs, centres de santé au travail ou de santé scolaire…
En libéral
Enfin, après un temps d'exercice en qualité de salarié à l'hôpital, l'infirmier peut exercer en libéral pour tout ou partie de son temps de travail. Actuellement, environ 13 % des infirmiers ont fait ce choix.

Salaire

Salaire du débutant
1551 euros brut par mois.

Intégrer le marché du travail

Plein emploi assuré
La profession bénéficie de conditions d'accès à l'emploi très favorables. Le taux de chômage est l'un des plus faible de tous les métiers. Près de la moitié des infirmiers nouvellement diplômés exercent dans un service public de soins et santé.
Évoluer en se spécialisant
Avec une expérience professionnelle de 4 ans, l'infirmier peut préparer le diplôme de cadre de santé et occuper un poste d'encadrement ou de formateur dans un Ifsi (institut de formation en soins infirmiers). Après réussite à un concours, il lui est aussi possible de se spécialiser pour devenir infirmier de bloc opératoire, infirmier-anesthésiste ou infirmier-puériculteur.
Des aides pour l'installation en libéral
Après quelques années d'exercice, les infirmiers peuvent s'installer en libéral. En zones sous-équipées en professionnels de santé, cette démarche est encouragée par des aides ciblées (locaux professionnels et diverses facilitations). Enfin, tout au long de leur carrière, les infirmiers bénéficient de formations professionnelles leur permettant de maintenir leur niveau de connaissances et de diversifier leurs savoirs et leurs compétences (soins palliatifs, ostéopathie, hospitalisations à domicile…)

Accès au métier

Pour exercer ce métier, il faut obtenir le diplôme d'État d'infirmier, délivré par les Isi (instituts de formation aux soins infirmiers).Le diplôme d'État est désormais reconnu au niveau bac + 3. Les auxiliaires de puériculture et les aides-soignants justifiant de 3 ans d'expérience peuvent se présenter à un examen d'admission spécifique et bénéficier d'une dispense de certaines unités de formation.
Niveau bac + 3
  • Diplôme d'État d'infirmier
Les fonctions d’animation s’exercent à différents niveaux de responsabilité : être en prise directe avec le public, coordonner une équipe d’animateurs ou diriger une structure d’animation.

Avec le public, l’animateur développe des activités qui facilitent la communication, l’adaptation au changement et plus généralement la mise en œuvre d’une vie sociale.

 Il encourage l’expression, la créativité et l’épanouissement des individus par des techniques variées : expression corporelle, atelier d’écriture, multimédias, activités artistiques et culturelles.

Ses principales activités se répartissent en trois fonctions :

Fonction d'accompagnement :
  •  évaluation des besoins, des désirs et des attentes des personnes âgées en terme d'accompagnement,
  • informations sur l'histoire de vie des personnes âgées accueillies,
  • en coordination avec toute l'équipe, accueil des résidents dans la structure,
  •  proposition et mise en place d'un accompagnement personnalisé des résidents selon les besoins.

Fonction d'animation :
  • collaboration avec l'équipe à la définition du projet d'animation, en cohérence avec le projet d'établissement et le projet de vie,
  • élaboration des programmes d'animation (annuel, mensuel, hebdomadaire),
  • conception et mise en œuvre des actions d'animation personnalisées (individuelles ou collectives) en cohérence avec les besoins, les désirs, les attentes des résidents et les contraintes de la structure : activités physiques (gym douce, prévention des chutes, aide à la mobilité…) ; activités intellectuelles (gym mémoire, échanges, discussions, quiz…) ; activités culturelles (visites, expositions, diaporama, concert, théâtre…) ; activités manuelles (modelage, jardinage, cuisine, bricolage…) ; activités sociales (rencontres intergénérationnelles, inter-structure…) ; activités bien-être (relaxation) et établissement et gestion du budget d'animation.

Fonction de coordination :
  • proposition d'activités diversifiées qu'il coordonne avec les membres du personnel, des bénévoles des intervenants… selon les circonstances,
  • pilotage et évaluation des actions menées et ajustement des projets, - participation avec l'équipe de soins aux transmissions et veille à la prise en compte du résident dans sa globalité,
  • communication avec les partenaires extérieurs pour créer des activités en commun et ouvrir la structure sur l'extérieur,
  • relation avec les médias pour informer sur la vie de la résidence.

Les aptitudes
  • Être à l’écoute et disponible ; développer les relations humaines ;
  • adapter ses modes de communication aux différents publics (résidents, familles) ;
  • travailler en équipe et en réseau (bénévoles, autres professionnels) ;
  • savoir organiser et chiffrer un projet.

Conditions d'accès à la formation

Aucun diplôme n'est exigé mais il faut soit :
  • justifier de 3 ans d'activité professionnelle à plein temps,
  • justifier de 3 ans d'activité d'animation par périodes minimales continues de 9 mois,
  • justifier de 3 années d'activité cumulées pouvant comporter des périodes d'activité professionnelle ou des périodes d'activité d'animation répondant aux conditions ci-dessus,
  • être titulaire du BASE (Brevet d'Aptitude à l'Animation Socio-Educative qui sanctionne une expérience socio-éducative de 2 ans au moins) délivré par les services du ministère de la jeunesse et des sports.

Examen d'admission à la formation

Il faut réussir les épreuves de sélection organisées par les centres de formation (2 épreuves écrites et une épreuve orale).

Fiche métier, aide soignante

Nature du travail:
Un assistant
Sous la responsabilité de l'infirmier, l'aide-soignant s'occupe de l'hygiène et veille au confort physique et moral des malades. Au quotidien, il aide les patients à effectuer leur toilette et à s'habiller. Certains malades doivent rester à jeun avant une opération, d'autres suivent un régime particulier. Il vérifie donc les consignes avant de préparer les chariots de repas.
Un accompagnant
L'aide-soignant accompagne dans leurs déplacements les personnes privées d'autonomie. Il les aide à s'asseoir, à se nourrir, à sortir de leur lit. Son travail s'étend à certaines tâches d'entretien comme le changement de la literie et du linge, ainsi que le nettoyage et le rangement des chambres et des espaces de vie.
Des soins limités
Contrairement à l'infirmier, l'aide-soignant ne donne pas de médicaments et n'effectue pas de soins médicaux. Installer une perfusion ou prendre la tension d'un malade ne rentre pas dans ses attributions. En revanche, il participe à d'autres soins. Par exemple, la prise de température des patients, la surveillance d'une courbe de poids ou certains changements de pansements.

Compétences requises

Aider physiquement le patient
Le travail d'aide-soignant requiert résistance, force physique et délicatesse. Pour aider un malade à se repositionner dans son lit, pour l'aider à se lever ou à se déplacer, lorsqu'il est très affaibli ou sous perfusion, par exemple.
Communiquer et écouter
Trouver les mots justes pour apaiser un malade angoissé avant une intervention chirurgicale, pour persuader un enfant de s'alimenter ou pour informer ses collègues… la capacité à communiquer de l'aide-soignant est primordiale. Sans oublier une bonne dose de patience, de tact et un certain sens de l'écoute.
Se montrer disponible
L'aide-soignant sait se rendre disponible et faire preuve d'initiative tout en s'impliquant dans un travail d'équipe. Souvent confronté à des personnes en souffrance, il doit aussi être doté d'un solide équilibre psychologique.

Lieux d’exercice et statuts

Au sein d'une équipe
L'aide-soignant travaille principalement dans des établissements hospitaliers, des résidences pour personnes âgées ou des crèches. Il fait partie d'une équipe médicale regroupant d'autres professionnels de la santé, avec lesquels il collabore : médecins, sages-femmes, infirmiers, kinésithérapeutes.…
Un sens aigu de l'observation
Parce qu'il travaille au contact quotidien des malades, l'aide-soignant est le premier témoin des changements ou des améliorations dans l'état des patients : de précieuses observations qu'il transmet ensuite à l'équipe médicale.
De jour comme de nuit
Le travail est organisé par rotation des équipes, souvent sur 4 jours avec des permanences le week-end et les jours fériés. Certains ne travaillent que la nuit.
Des soins chez le patient
Lorsqu'il est salarié d'un centre de soins communal ou d'un centre associatif, l'aide-soignant exerce directement au domicile des malades, effectuant ainsi de nombreux déplacements.

Salaire

Salaire du débutant: Smic.

Intégrer le marché du travail

Des perspectives favorables
Le métier compte 320 000 professionnels. Il est accessible aux garçons comme aux filles. Chaque année, 10 000 postes se libèrent en France. Les perspectives d'emploi sont favorables. Les débouchés dans les hôpitaux restent importants, et l'allongement de la durée de la vie devrait créer de nouvelles opportunités dans les centres accueillant des personnes dépendantes.
Évoluer grâce aux concours
Après 3 ans d'exercice dans le secteur hospitalier ou médico-social, un aide-soignant peut se présenter à l'examen d'admission aux écoles d'infirmiers et être dispensé de certaines unités d'enseignement. Par ailleurs, les titulaires du diplôme d'État sont dispensés d'une partie de la formation d'auxiliaire de puériculture s'ils envisagent de préparer ce diplôme. Certains concours de la fonction publique (ceux des hôpitaux des armées ou de la préfecture de police) sont également accessibles.

Accès au métier

Le diplôme d'État d'aide-soignant se prépare en un an, au sein d'écoles spécialisées.Le concours d'entrée à ces écoles est accessible sans diplôme préalable. Néanmoins, les candidats déjà titulaires d'un diplôme de niveau bac, ou ayant suivi une 1re année d'études d'infirmier, et n'ayant pas été admis en 2e année, peuvent être dispensés des épreuves écrites d'admissibilité.
Après la 3e
  • Diplôme d'État d'aide-soignant
Niveau bac
  • Bac pro accompagnement, soins et services à la personne option à domicile ou en structure

lundi 9 janvier 2012

Compte rendu visite commissariat de police

Nous avons était accueilli par monsieur BRANCHAT, lutte contre la délinquance, recherche du renseignement, gestion de la circulation et des grands événements.
Nous avons vue: -au troisième étage; le centre de tirs, et tout les jours pendant leurs service ils doivent allait s'entrainer ainsi que la salle de sport ou ils y ont accès quand ils veulent jour et nuit.
                          - au rez de chaussée; les cellules de garde a vue.
                          - au deuxième étage; c'était le centre de commandement, ou il y avais la police scientifique ( SRPJ), il nous a montrer comment on prenais des empreintes de doigt, les combinaison pour allez sur une scène de crime, nous avant aussi vue, le centre ou il reçoit les appelle pour partir en intervention, et il y a un ordinateur ou on peut voir, ce qu'il se passe dans la ville d'Agen grace au 23 caméra placer.
Les policier n'ont pas le droit de tirer sur quelqu'un, vue qu'ils s'occupe de la sécurité, sauf si la personne a déjà tiré et quel fait des choses dangereuse, les policier que nous voyons dans la rue, on toujours leur armes avec deux chargeur de pistolet.